L’excision et sa dépression

Capture d’écran 2015-03-04 à 09.15.20De l’Egypte antique à aujourd’hui, quelques millénaires nous séparent… Mais la situation reste inchangée. Déjà durant la période pharaonique, l’excision était une pratique traditionnelle. Les voyageurs, dans leur périple le long du Nil, ont transmis leur culture et leur tradition aux pays qu’ils ont rencontrés.

Ainsi, la pratique des Mutilations Génitales Féminines s’est étendue à quasiment toute l’Afrique sub-saharienne. Les pays les plus pratiquants, dont la Somalie, l’Ethiopie, le Soudan, et le Djibouti, récoltent encore aujourd’hui les conséquences désastreuses de tels actes : infections génitales, et autres fléaux sont monnaie courante, dans ces régions.

Et les motifs ne manquent pas: traditionnels, religieux…

De nos jours, la lutte pour les femmes bat son plein, en Afrique comme dans le monde entier. Des associations, des hommes, mais surtout, des FEMMES, se mobilisent et tentent de faire disparaître, UNE BONNE FOIS POUR TOUTE, la destruction intime des jeunes filles.

SIDIHAMO AJOUTE SA FLAMME DANS LE BRASIER DE LA LUTTE ! DISONS «NON» à l’excision !

Programme

  • 14h00 : Accueil – présentation 14h10 : Chanson de l’Asbl
  • 14h15 : Présentation de l’excision (Dr. M. Caillet)
  • 14h40 : Documentaire excision (Mme Fabienne Richard-GAMS)
  • 15h00 : Psychologue – La dépression
  • 15h30 : PAUSE DÉGUSTATION
  • 16h00: Les soins pour l’excision (Mme Bounou Samira)
  • 16h15: Mot de M. Balla Keita – coordinateur de l’espace « Beyray à Bamako » culturel
  • 16h25: Conclusion du thème (Roumi)
  • 16h30 : Musique de Père Robert
  • 17h30 : Fin du programme

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